velo en cote

Petit test !!! Article JL

Alain de la Bec !! a écrit:Sur Sport et vie 114, l'avant avant dernier ,y en parle mais j'arrive pas à remettre la main dessus , il me semble qu'Yvan est aussi adepte de ce magazine

mais de ce que je me rappelle de l'article, je crois que la courseà pied apporte plus à un cycliste que le velo à un coureur à pied.

quoi qu'il en soit en 2004 j'avais acheter mon 1er velo de route alors du coup en plus d'aller courir en montagne ,je me faisais souvent des sorties entre 1h et 1h30 à toc ,par chez moi avec un peu de denivelé

ça ne m'avait pas empeché de faire un belle été en course de montagne ou j'avais fais une belle
place à la course selection qui avait eu lieu aux Arcs (Trophée Sylvain Cacciatore), 1semaine avant j avais un super chrono à la montée d'Avoriaz: 39'54 avec mon velo de 10kg500 (aujourd'hui j'en ai un à 8kg200 et j'arrive plus à descendre en dessous des 40min )
bref 1h de velo , ça fait pas de mal

je pense que pour les sorties longues (surtout pour les trailers ) ,ça peut soulager un peu l'entrainement et les traumatismes ou alors apres le lendemain d'une seance eprouvante en course à pied ça peut etre pas mal pour la recup (en tout cas je fais un peu comme ça )


mais bon ,des fois un petit chrono en velo à toc dans un col c'est bon......

Des ALain à Bernex qui font la montée d'Avoriaz en moins de 40' j'en connais qu'un ? On n'a pas roulé une fois il y a quelques temps avec Romain. Grèg, Raphaël ...

Ivan

salut yvan

oui c est moi qui parlait sur vélo101.avant de courir, je faisais des cyclosportives ; j ai commencé en 1998 ; le résultat qui me comble le + est la marmotte, 180 km et 5000+ en 7h40; j ai finit 3eme femme et 300eme sur 6000 avec les hommes; j ai un long passé cde cyclosportives et je me suis mise a courir il y a qq années.

cette année , je roule pour le plaisir, sans compet.

et toi?

Salut Rachel,

Jolie perfs, c'est cool. C'est drôle tu fais le chemin inverse du vélo à la CAP. Habituellement pas mal de gens viennent à un sport porté pour des ménager leurs articulations. le genoux de l'homme n'est pas une réussite du point de vue bio mécanique (LA faute à Darwin ).

Perso je viens du VTT. Je n'ai commencé qu'à .. 40 ans. Un voisin m'a proposé une sortie et pas j'ai chopé le virus.

A ce jour 45 ans, je pratique le cyclisme route et VTT et skip alp en hiver pour maintenir la caisse. Cette année pas une grande année. Mon seul fait d'arme 34ème scratch sur 2'200 à l'Ardéchoise 170 km. Au Grand raid 70 km j'ai pris une violente explosée dans ce que l'on appelle le Pas de Lona (porté de 400 m d+ à 2800 m d'altitude). je finis 9ème vétéran du 500 environ.

Le temps va pas tarder de changer de sport: un peu de trail, ski roues et ski alp des que la neige est là
Ivan

salut

j ai gagné l ardéchoise 170 km en 2000; tres belle course et piégante avec 18 cols...ca casse les pates a la fin

bravo pour ta perf, et l essentiel c est qu on se fasse plaisir; les perfs passent apres non?

bravo pour ta perf, et l essentiel c est qu on se fasse plaisir; les perfs passent apres non?

Alors là on aborde la notion de plaisir. le plaisir est un ressenti très personnel je pense, quasi philosophique.

A chacun de trouver selon ses goûts et sa personnalité sa propre définition du plaisir.

1) Il y a les contemplatifs. Le gars tu le mets sur un vélo et il s'émerveille, il ouvre des yeux grands comme des billes, bref il est heureux et à du plaisir.

2)Il y le jouissif. Lui rien que de monter sur le vélo il s'amuse comme un petit fou, crie à tue tête; bref il a du plaisir.

3) Il y a le compétiteur. Lui son moteur c'est le chrono, ou battre son concurrent le plus sérieux. S'il y parvient alors il a du plaisir.

4) Il y a l'accroc du dépassement de soi e de claquer une perf. par rapport à son niveau et sa génétique. S'il fait mieux que son objectif alors il éprouve du plaisir.

Je me place dans le groupe 4 et toi dans le groupe ?

Après faut pas me raconter des histoires, si on met un dossard sur le dos, c'est pourquoi , C'est parce que l'on est un compétiteur. Sinon on se fait des super ballades, des plans entre amis etc ...

Attention je ne fais aucun jugement, je respect chacun dans sa pratique. Mais mes affinités vont vers ceux qui cherchent à s'améliorer et à donner le meilleur d'eux mêmes.

Ivan

Ivan a écrit:Salut les rois du trail et de la CAP !!!

Tout ce qui touche aux sports d'endurance m'intéresse. Il faut être curieux pour apprendre. C'est toujours très enrichissant d'observer les pratiques dans d'autres sports et de les appliquer si possible par analogie. Je vous avoue mon incompétence en CAP mais certains fondamentaux demeurent.
Mes sports sont le vélo (Route,VTT) et le ski alp.

Par galanterie je vais répondre à Rachel. Non je ne pense pas que l'on se connaisse. J'ai pu suivre tes exploits à travers le net. N'est-ce pas toi qui postait qqs fois sur VELO101 ? Tu roules aussi ?

Pour JL, vraiment ton article est très bien écrit, tu as très bien analysé, croisé les différentes valeurs physiologiques sur les différents sports comme le vélo et la CAP. Il y a peut-être 1 ou 2 points "mineurs" où mon avis diverge. Mais rien de bien grave ;-)

Si jamais je t'ai fait une petite place sur VO2 Cycling vo2cycling.fr/index.php?/Physiologie-et-entrainement-sportifs-VTT/questions-dentrainement-velo-course-a-pied/id-menu-97.html

Ivan

PS: je n'arrive pas à inclure de liens URL. Il faut être membre sans doute.

Idem, il se trouve qu'à la base je me suis intéressé à la CAP, ensuite j'ai eu l'occasion d'entrainer en ski alpinisme. Mes questions portent sur les complémentarités ski-CAP et bien sur vélo, ce n'est pas mon domaine mais les interactions sont évidentes.

Je ''suis'' 6 coureurs (3 hommes + 3 féminines) dont 3 sont coureurs-skieurs (et même skieur-coureur). J'enregistre toutes les sorties et compèt (vélo-cross-10 km-semi-montagne-trail-ski alpi : montées sèches-coupe du monde-pierra menta ...). Je dispose de > 3000 fichiers d'entrainement et de 300 courses. Ca fait une bonne base de données.

Les questions principales :

Agencement des saisons été-hiver (durées-périodes de récup-contenu-prévention surentrainement etc...).
Imbriquer au mieux les différents sports.
Améliorer la qualité (la VO2, le seuil, l'endurance, la force etc...).

Complètement autodidacte et amateur et sans prétention, mais sérieux quand même.

Si on peut continuer à communiquer j'aurais pas mal de question (analyse RR par exemple).

A bientôt, j'espère.

salut

moi aussi groupe4 ; oui je suis une compétitrice c est sur ; et si je prends un dossard , je ne peux pas faire la course en dedans .

Salut JL,

Je ne me définis pas comme un coach. J'ai fait quelques expériences avec des athlètes de haut niveau avec plus ou moins de bonheur. Coacher un athlète réclame du temps, de la proximité. Une symbiose ou une relation fusionnelle doit exister pour que le binôme fonctionne. Le coach doit également être crédible, à l'écoute et un respect mutuel doit s'installer dans la relation. Le mentale est très important dans le sport de haut niveau.

Chaque athlète est différent. certains il se prennent des charges monumentales sans broncher. Des caisses énormes. D'autres doivent se tourner vers plus de qualités etc ...

Le modèle que je préfère pour nous autres amateurs, c'est d'apprendre à se connaître. L'athlète doit être curieux, essayer d'analyser et de comprendre les fondamentaux de l'entraînement. Il existe aujourd'hui suffisamment de connaissances pour apprendre (littérature, Internet). Après il est clair que l'on peut aider, conseiller et orienter un athlète.

L'entraînement n'est pas une science exact, sinon cela se saurait !!! Tu peux reproduire 2 années identiques, mais boum cela ne fonctionne pas. Il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu: vie privée, vie professionnelle, état d'esprit, données physiologiques. Je crois plus en une remise en cause permanente en fonction de son ressenti au présent et du dernier cycle écoulé.

A+

Ivan

t as raison ; coatcher ca doit pas etre facile; a ce propos jl , pour tes filles , est ce important pour toi de connaitre la semaine ou elles ont leurs regles?

en d autres termes, ces petits tracas mensuels ont ils une influence sur notre forme?

peu de filles interviennent sur ce forum mais je pense que pas mal le lise , donc ca peut intéresser + d une personne; messieurs , excusez moi de poser cette question; quelle chance vous avez ..

dborci a écrit:Salut JL,

Je ne me définis pas comme un coach. J'ai fait quelques expériences avec des athlètes de haut niveau avec plus ou moins de bonheur. Coacher un athlète réclame du temps, de la proximité. Une symbiose ou une relation fusionnelle doit exister pour que le binôme fonctionne. Le coach doit également être crédible, à l'écoute et un respect mutuel doit s'installer dans la relation. Le mentale est très important dans le sport de haut niveau.

Chaque athlète est différent. certains il se prennent des charges monumentales sans broncher. Des caisses énormes. D'autres doivent se tourner vers plus de qualités etc ...

Le modèle que je préfère pour nous autres amateurs, c'est d'apprendre à se connaître. L'athlète doit être curieux, essayer d'analyser et de comprendre les fondamentaux de l'entraînement. Il existe aujourd'hui suffisamment de connaissances pour apprendre (littérature, Internet). Après il est clair que l'on peut aider, conseiller et orienter un athlète.

L'entraînement n'est pas une science exact, sinon cela se saurait !!! Tu peux reproduire 2 années identiques, mais boum cela ne fonctionne pas. Il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu: vie privée, vie professionnelle, état d'esprit, données physiologiques. Je crois plus en une remise en cause permanente en fonction de son ressenti au présent et du dernier cycle écoulé.

A+

Ivan

Tout cela est exact mais je me rends compte qu'en général les coureurs ne sont pas intéressés par les choses de l'entrainement. Du coup ils aiment bien quelqu'un qui fait les recherches et les analyses avec et pour eux. Comme j'aime bien faire ça, on se complète, mais c'est clair qu'on est en relation quasi journalière (ça fait du temps). Eux ont l'esprit plus libre et moi ça m'occupe

Tout ce que je peux dire, c'est que la demande est très importante, surtout dans les sports nature comme le trail et le ski alpi car il n'existe pas de formation d'entraineur pour ces disciplines.

Salut,

Pour le ski alp je confirme. Je connais un peu Patrick Rassat et personnellement très bien 2 membres de l'équipe de France. Le ski alp est rattaché à la FFME et les moyens c'est quasi 0 !!!

Donc c'est DIY. L'athlète est livré à lui même malgré son status d'athlète de haut niveau.Celui qui se prend en main, qui est curieux et fait l'effort d'apprendre les fondamentaux de l'entraînement obtient de meilleur résultat (à potentiel égal bien sûr).

"Ceux qui finissent par faire des découvertes et par franchir des caps sont ceux qui tournent sans cesse autour de leur rêve. Ils ne conçoivent pas leur vie sans faire, en toutes occasions, de nouvelles découvertes, sans se nourrir de nouvelles rencontres, de remises en question et de compétences diverses qui les aideront dans leur quête"

Pas de moi

Ivan