POURQUOI avoir changé pour la course a pied ?

Nombreux sommes nous a avoir pratiqué un autre sport avant de s'investir dans la course à pied.

Quel point particulier a fait que vous ayez changé de "religion" sportive pour courir

Beaucoup viennent de sports collectifs, tandis que d'autres viennent de sports plus techniques ou le matériel prends un part importante.
Personnellement j'ai quitté le football à 20 ans car la mentalité sur et surtout au bord du stade était loin de me donner le plaisir que j'attends en faisant du sport.

J'y ai trouvé plein d'avantages aussi :
- Je m’entraîne avec une grande liberté d'horaires et de lieux.
- Mes résultats dépendent de mon travail (ce n'étais pas toujours le cas au foot).
- Je découvre de nombreux endroits que je n'auras jamais connu sans ce sport (au foot aussi je découvrais de nombreuses villes et villages mais je ne connaissais que le stade !).
- Et cela ne m'empêche pas de m'amuser après une course avec les copains, car si la course à pied est un sport individuel, le fait d'être dans un club donne une belle motivation d'équipe.
- Humainement j'y fait aussi régulièrement de belles rencontres.

Le fait de changer de sport peu aussi engendrer des soucis mécaniques car les muscles n'ont pas tous eû les mêmes habitudes de travail, et ce fait peut en démotiver plus d'un

Quoi qu'il en soit j'ai vraiment trouvé dans ce sport un état d'esprit qui me plait, ou quel que soit le niveau nous avons tous le même effort à accomplir pour partager les mêmes images ensuite.

Maintenant à vous de nous parler de vôtre entrée sur la planète "courir" après des années de .....

Seul bémol les genoux lorsque l'on vieillit. Sinon la CAP c'est sobre, minimaliste, une paire de basket suffit.

Donc liberté totale et rapport temps plaisir optimal.

Ivan

PS: Moi j'aime pas courir mais ne le dite à personne.

bonsoir pelloche,

et bien moi , avant de courir , je faisais des cyclosportives ( longues distances et avec du dénivellé principalement);
et puis l ' automne , je me mettais a courir et participais a qq grimpées , 10 km etc ; j ' aimais bien ;

et puis j ai décidé de m ' inscrire a un stage de course de montagne , a risoul ( aout 2005) , et la ca a été le déclic : l ' an prochain , je fais une année de compét de course de montagne , avais je décidé a la sortie de ce stage .


j ' ai refait une année de cyclosportives en 2007 apres avoir connue andré , qui lui était cycliste ( il a notamment bouclé paris -brest-paris ) et puis maintenant , c est vélo pour le plaisir et l ' entrainement et compétition 100 pour cent capied;
andré s ' est converti lui aussi ; c est super .

pourquoi?

.en vélo , j ' ai fait une chute en mars 2006 et ma fracture de machoire m ' a laissé de graves séquelles mentales ( manger 3 semaines avec une paille en ayant les dents attachées , ca marque ...) ;
roulez dans les courses me faisait de + en + peur;

.et puis la préparation vélo , ca prends du temps ;
l entrainement trail , c est + rapide .

.et puis en vélo , le coté mécanique en freine + d ' un.
.et puis le facteur météo, c est compliqué en vélo : le froid , la pluie alors qu ' en trail, rien ne m arrete ; on n a pas froid .

.l état d ' esprit des courses de vélo ma également poussé vers le trail .
c ' est + convivial .

.j ai vraiment trouvé dans la capied , et le trail surtout , un plaisir inexplicable : chaque sortie est une nouvelle aventure , on découvre 10 000 sentiers tres proche de chez nous et c est la nature .

mais il reste que j adore faire du vélo ,; d aileurs cette année , je fais 1 a 2 seances de vélo par semaine de cols et avec andré on adore découvrir de nouveaux cols.

bon j arete sinon je vais dégouter notre charles ...hein jl, ...

j'ai oublié deux autres points positifs :

- Le fait de pouvoir courir quel que soit le temps (en étant habillé en conséquence ).
- Le risque limité de devoir abandonner pour problème mécanique en étant en pleine "bourre".

tu as raison pelloche :

quand je préparais les cyclosportives , j avais les yeux rivés sur les bulletins météo afin de pouvoir placer mes longues sorties montagneuses les soirs de beaux temps ...quel casse tete... ;

autre point positif pour la capied : pouvoir courir de nuit ; l ' automne , lhiver apres le boulot alors qu en vélo , des fin septembre, c est plus possible : home traineur obligé ...

Et bien moi, bien que je n'ai jamais changé de religions (attaqué l'athlé à 5 ans et jamais rien fait d'autres! ) , j'essaie bien à présent de me diversifier, comme les Alpes présentent un potentiel énorme pour pratiquer 99% des sports existants. Mes 2 autres activités seraient bien le vélo et le ski alpinisme mais 2 éléments me bloquent:
- le prix du matériel (sans parler de la casse fréquente...) et donc son poids. En running, pour s'alléger de 500g, il faut faire un régime. En ski ou vélo, il faut aligner les billets de 100€ !
- les risques pris à certains moments. Je ne dis pas que le trail par exemple ne comporte pas de risques, mais ils sont moindres que descendre en ski alpinisme droit dans la pente ou en vélo sur route mouillée...

Bonjour à tous,

c'est un sujet très interessant, merci joel.

Je crois que j'ai fais du vélo toute ma jeunesse parce que le tour de france me faisait rèver, paris roubaix aussi.
Bref, un gros coup de coeur alors que j'avais une dizaine d'années. Ecole de cyclisme, premières courses en junior, et sept ans en première catégorie à l'époque,une quinzaines de classiques nationales ou internationales par ans

Un bon programme, beaucoup de contraintes, des courses à étapes ou nous rentrions à deux heures du mat à annemasse (et oui, j'étais au vca),et ou je reprenais ma voiture pour rentrer à grenoble sur le coup de quatre heures pour ètre au boulot à sept...

Alors évidemment,celà génère énormément de fatigue,ce qui devait arriver arriva.
J'ai eu une grosse saturation et (comme souvent chez moi) sur un coup de tète,à l'arrivée d'une course, j'ai décidé de ne plus faire de vélo.

J'ai à l'époque fait au moins une heureuse. Mon épouse qui à toujours détesté le vélo et l'ambiance des courses.

J'ai pensé à l'époque ètre débarrassé définitivement du sport...
Mais après plusieures années de non activité physique (une petite dizaine) ou j'ai fais beaucoup de sculpture, activité qui te vide bien la tète,j'ai commencé à avoir un manque de dépense physique.

J'avais pris du poids, et j'ai commencé à courir pour en perdre justement.
J'ai découvert d'autres sensations,une grande liberté,aussi bien par rapport au matériel qu'aux horaires d'entrainement.

Je me suis donc lancé dans les premières compets avec un mental tout autre que pour le vélo, la course à pied n'ayant jamais été une passion dans ma jeunesse.

J'ai découvert la course de montagne, son ambiance, ses cotés festifs après course, et la beauté des paysages.

J'ai de suite été emballé, la course à pied permettant d'ètre encore plus proche de la nature que le vélo, on va dans certains endroits innacessible à bicyclette et quand on coure, le pied vient directement en contact avec le sol, ce qui n'est pas le cas en vélo, séparé que nous sommes par les roues.

Coté budget,il n'y a pas photo, quand je regarde le prix des vélos, je me félicite que ma gamine soit passionnée par la gymnastique...

Alors voilà,mes quelques impressions, le changement de sport chez moi à été plus un hasard qu'un choix bien réflèchit.

Je ne regrette pas, ces dernières années,je me suis vraiment fait plaisir avec un temps d'entrainement très limité du à mon activité professionnelle.


J'aborde maintenant une manière différente de faire du sport, mais je reste en contact avec mon club,l'ambiance athlé me plait,j'espère pouvoir courir encore quelques années pour mon pur plaisir.

Un peu comme Bruno ci-dessus, le hasard et les circonstances...

J'ai inscrit mon beau-frère avec moi sur le Roc Marathon 2005 car il s'était mis au VTT et au vélo de route depuis quelques années histoire d'oublier quelques déboires conjugaux, et on se cherchait régulièrement quelques objectifs sympa à réaliser sur 2 roues, cramponnées ou non...
A l'arrivée du Roc, il me dit que je suis inscrit avec lui au Marathon de Paris 2006!!! Oupppss, bien conscient de mes piètres qualités de coureur à pied je me suis dit que si je voulais passer la ligne dans un temps décent sans finir sous la tente de la croix rouge il me fallait me préparer un minimum.
A raison de 40 à 50 kms par semaine (ça me semblait déja beaucoup!!) j'ai donc commencé à préparer ce Marathon dès le mois de novembre.
Tout le monde ici se doute qu'avec un tel kilométrage, même si le résultat chronométrique n'a pas été si catastrophique pour une 1ère épreuve à pied, il m'a bien fallu 2 mois pour récupérer!!!!!!!! (J'ai du descendre les escaliers du train en marche arrière aidés par d'autres voyageurs au retour le dimanche soir Mais voilà, réalisant que la course à pied était bien plus technique que ce que j'imaginais j'ai vu dans ce sport une opportunité de découvrir tout un univers, et un un milieu bien sympa. Comme en plus j'ai eu la chance d'être initié aux diverses disciplines natures (cross, montagne, trails) de la course par Cyrille Hanriot j'ai pu multiplier les plaisirs et redécouvrir la compétition pour un investissement temps minimum et , presque, compatible avec les activités professionnelles et familiales.

Je suis passée du vélo à la course à pied pour 3 raisons :

- la météo
- Le temps passé
- Poids
- Ambiance des courses

Je me rappelle avoir commencé mes premiers entrainements de CAP en hiver et j'avais remarqué que je pouvais m'entrainer régulièrement quelque soit le temps, qu'il neige, qu'il pleuve, qu'il fasse nuit et j'ai trouvé ça génial car on ne souffre pas du froid ce qui n'était pas le cas pour le vélo ou quand arrivait le WE pourri, pas moyen de s'entrainer et c'était vraiment décourageant.

En peu de temps, le soir après le travail j'allais m'éclater, et la CAP me procure aussi d'autres sensations (plus de tonus,liberté, meilleur ressenti de ton corps, de tes muscles) (Sport aussi moins risqué. Autant en vélo,j'étais toujours vigilante dans les descentes (une marmotte devant une roue ça peut arriver!!!) ou autres dangers alors qu'en CAP j'adore dévaler les descentes. (si un jour vous m e trouvez étaler comme une crêpe, help me!!) merci.

J'adore la nature, montagnes, forêts, animaux. On peut s'arrêter un moment pour observer ce qui n'est pas le cas quand on fait un col en vélo, bien souvent il faut vite redescendre à cause du vent et du froid. (et en plus on a souvent froid dans les descentes).

L'équipement moindre, très vite prêt.

L'ambiance des courses où les gens sont plus souriants.

Autre point, non négligeable, le poids, on perd plus en CAP qu'en vélo je trouve, avis très personnel).

oups!! cà fait 4 raisons et non 3!!!! et pas des moindres!!

on perd plus de poid vu les aperos apres entrainement
moi vrai j'en prend pas mais j'en perd pas (rire)
Alors ses smilleys marche toujours pas ???

Oui Alain c'est ce que je voulais dire,

ça te permet de faire quelques petits écarts de temps en temps sans te prendre trop la tête

T'en prends pas t'en perds pas non plus .

Comme Joël, j'ai pratiqué le football (17ans pour ma part ). J'ai adoré ce sport même si je m'y suis beaucoup blessé (chevilles, genoux etc...) je souffre quand je vois ce qu'il est devenu.
Une hernie discale m'a finalement obligé à arrêter et j'ai ensuite beaucoup grossi. (92kgs pour 1m65).
Excès de Cholestérol, d'acide urique, je n'étais vraiment pas en forme.....
Je me suis fait opéré de l'hernie discale et environ 1 an après j'ai commencé le footing avec comme objectif de faire un marathon.
Mes débuts ont été bien difficiles. Il me fallait 20mn pour faire le parcours de santé de Meythet ( 2km ) petit à petit j'ai augmenté la distance et commencé à perdre du poids.
Quelques années après je terminais les marathons de Lyon, Paris et dernièrement Annecy
Dans mon cas, se sont donc les blessures a répétition, le besoin de perdre du poids et de me refaire une santé qui m'ont amenés au footing.
et aujourd'hui....je n'ai plus de Cholestérol, plus d'Acide Urique et je pèse 62kg
La pratique de ce sport a littéralement changé ma vie.

Depuis l'âge de 20 ans, j'ai toujours pratiqué la randonnée en montagne, marche à pied, ski alpinisme, rando glaciaires, le vélo de route était toujours une bonne source d'entraînement. A la naissance de mon fiston , j'ai diminué le rythme et en prenant de l'âge je n'ai plus envie de porter un gros sac à dos et la découverte du trail a été une aubaine : il suffit d'une paire (c'est mieux ) de chaussures, un sac à dos léger et c'est parti, j'adore les ambiances courses, j'aime le collectif tout en étant un sport indidviduel, les autres me motivent,les bénévoles au bord du chemin et les spectateurs sont réconfortants et il me manque maintenant quand je fais une virée hors CAP, les courses permettent de belles rencontres et de connaître de jolis coins de nature et les entraînements du club des cinq avec arrosage à gogo est stimulant, sans oublier les soirées au club de Galopine Car le trail demande tout de même de la régularité pour s'améliorer mais c'est une sensation de liberté et j'aime les parcours au profil montagnard. Et le vélo reste toujours mon ami pour mentraîner, merci à Grany et Quéribus pour leurs bons conseils de spécialistes
A bientôt sur les chemins de trail

Bonjour,

Je découvre ce forum aujourd'hui et... je trouvais intéressant de venir me glisser dans ce post. Sans être une grande sportive, je suis une curieuse ! A 43 ans et maman de 4 enfants, travaillant à 100%... pas simple de trouver du temps de libre pour se défouler.

Depuis quelques années, je pratique le Nordic Walking (appelé plus familièrement marche nordique en France). J'aime aussi me dépenser dans une salle de sport, avec des machines ou des cours de fitness, style abdos-fessiers ou biking. La piscine parfois mais alors avec des palmes courtes pour une bon travail des cuisses et puis... et puis...

...un jour je m'essaie timidement à la course. Rien de bien grandiose mais une richesse de sensation et un pur bonheur à voir le résultat de l'entraînement. En fait, j'aime l'endurance et j'en rêve ! A mon rythme, selon mes disponibilités, j'y arriverai !!!

Samedi passé, c'est en ouvrant par hasard le journal que j'ai découvert qu'une course à pied avait lieu à Genève : la Trans'Onésienne. Allez hop, ce fût l'occasion de me tester sur une toute première course ! Le récit ce trouve sur mon blog, si cela intéresse quelqu'un.

www.missevidence.canalblog.com

Actuellement en convalescence, suite à une intervention chirurgicale, je fouille internet à la recherche de renseignements et d'infos sur les courses proche de chez mois. Je vous dis certainement à tout bientôt !

Et bien moi je viens... Du hand-Ball. J'ai pratiqué à un certain niveau :
1/2 finale du Cpt france junior en 77, Nationale 3 en 81, Nationale 2 (1/2 saison) en 82. Je jouais à un poste de grand malade (gardien !!), poste qui nécessite une extrème concentration et une condition physique optimum. Comme en plus, j'avais un gabarit un peu juste pour un goal (1,80m) je devais compenser par + de réflexes et + de vivacité... Et après un match, la seule chose qui pouvait faire retomber la tension nerveuse et/ou éliminer la fatigue de longs déplacements en bus, c'était de prendre mes baskets et d'aller courir dans les bois jusqu'à plus soif. Je respirais, mangeais, vivais hand, et mon seul défoulement était la course, n'importe où du moment que ce soit en nature... Jusqu'à la hernie discale, en plein match, qui a coupé court à ma saison, et par là-même m'a coûté ma place en équipe première. Ajoutez à cela un déménagement en Isère (j'habitais dans le neuf-cinq), au pied de la Chartreuse, et c'est donc naturellement que je me suis mis à courir, plus régulièrement. Et donc de fil en aiguille, avec une préparation vraiment archaïque, je me suis inscrit à ma 1ère course ,la défunte "Foulée verte à Corps" (27kms le dimanche autour du Lac du Sautet, et la grimpée à La Salette le Lundi (WE de la pentecôte en 87)... et je finis 5ème du combiné !!
Une révélation, et la compet me manquant tout de même pas mal (12 ans de ballon, c'est dur à oublier), j'ai embrayé tout de suite sur la course, dévorant tout ce qui s'éditait sur le sujet, découvrant des trucs inconnus pour moi (le seuil, le fartlek, la VMA, la PMA, le fractionné) et retombant dans la marmite du "vivre, respirer, penser" pour un sport. Aujourd'hui ma hanche m'a trahi, je suis passé au VTT, mais au panthéon des grands souvenirs sportifs, l'Euskal Trail, le Trail de Faverges, B2000, La Comba cohabitent avec tous les grands matches que j'ai pu disputer, au même niveau, avec le même plaisir, le même investissement et la même émotion. Vive le hand ,vive la CAP, la montagne et le ski de fond !!

Salut et merci RV38 de faire revivre ce post contenant des messages passionnants .....mais trop peu nombreux à mon goût

Vive ...les sports

alors j'espère que d'autres parmi nos nombreux membres vont venir compléter le sujet

Et bien moi je viens de la gymnastique, que je pratique depuis l'âge de 3 ans. Pratiquée un peu trop "intensivement", mon rachis et mes poignets s'en plaignent encore Mais impossible de m'en passer, j'y suis toujours... même si le rythme n'est plus tout à fait le même

Parallèlement, depuis une vingtaine d'année, je pratique aussi le cyclisme (route, vtt, piste) mais les entraînements de jeunes me prenant beaucoup de temps, les miens sont devenus plus "laborieux", je me suis donc mise à courir pour compenser

Et je me suis très très vite prise au jeu ! c'est très rapidement devenu indispensable et dès la première année, j'y ais pris un plaisir fou, surtout dans les grimpées et courses en montagne, même si je pratique aussi bien la route, que la course nature ou la course en montagne.

Voilà, je n'ai pas "changé" de sport, mais en prenant de l'âge, j'en ai rajouté je trouve la diversité des disciplines très enrichissante, et les 3 sports très complémentaires.
Varier les plaisirs, c'est booooon ! mais oup's... il manque des jours aux semaines !


Galopine

Bonjour,
Pour ma part, j'étais multi-sports car dans ma bande de"potes" entre 18 et 25 ans environ , on étaient tous fanas de sport et de bonnes "bringues"! (eh oui, à cette époque on pouvait faire les 2 sans trop de soucis )
Je faisais donc aussi bien du foot, de l'escalade, du VTT, de la peau de phoque, de l'alpiniisme mais sans vraiment être "accroc", juste en loisir.
Au cours de ces différentes pratiques sportives, les copains me disaient souvent que j'avais une sacrée endurance et qu'avec mes grandes jambes (je mesure 1.88) je serai peut_être bon à la course à pied !
Trottant dans ma tête, cette idée s'est installée et j'ai commencé à faire un ou deux footing pour voir. Je me suis tout de suite senti bien, pendant et surtout après ces séances: détendu, calme, serein.
J'en parle avec mon cousin qui courait déjà bien à cette époque et il me propose de participer au marathon d'annecy. Objectif: moins de 3 H 30 !
Une "montagne" pour nous à cette période, je me souviens des multiples doutes émaillant nos séances d'entrainements spécifiques sur 3 mois !
Puis le grand jour: on finit en 3 h 27! Une joie incroyable, une fierté, des sentiments très forts quoi !
Ma passion était née et me porte encore aujourd'hui. Depuis 2004, je suis plus orienté "trail" car j'aime la montagne sous toutes ses formes et cela me plait de "grimper". ( De plus le trail est un peu moins difficile que l'athlé pur ou la route qui sont des disciplines extremement dures en terme d'entrainements, de volonté,d'abnegation, de vie saine etc...)
Enfin, je pratique également le ski de fond (j'adore) et le vélo de route (bien que je trouve ce dernier sport extremement dangereux (circulation, descentes etc...).
La course à pied fait partie de ma vie et m'a souvent aidé dans les moments difficiles. J'ai sans arrêt de nouvelles idées comme par exemple un marathon en moins de 3 H .... une montagne... mais avec mon cousin et 13 ans après rien n'est impossible
A bientôt
Laurent

Salut à tous,
Tant d'horizons sportifs différents qui mènent à la même finalité, courir...
Chacun à son rythme, avec des objectifs plus ou moins ambitieux mais toujours pour le plaisir.
Pour ma part, nouveau venu à la CAP, j'ai pendant de nombreuses années pratiqué le rugby (sport de brutes joué par des gentlemens).
Un peu taillé dans un cure dent, j'en ai pas fait carrière mais j'y ai pris énormément de plaisir et cotoyé de belles valeurs morales et humaines.
Dans la continuité, j'ai transmis cette passion et ces valeurs en étant éducateur sportif.
En complément, et en loisir, j'ai quelque peu roulé sur route et en VTT sans jamais délaisser ma passion favorite, la montagne.
Depuis moins d'un an, ayant pris un peu de recul avec le rugby, je me suis lancer dans la CAP (juste pour garder la forme) et sans esprit de compétition.
Ayant été spectateur de "la bialle" les premières années, j ai trouvé à travers cette manifestation sportive une convivialité et une humanité qui m'ont incité à m'investir différemment dans la CAP. (Merci Coyote).
Mais pris par le jeu, j'ai intensifié les entrainements sans délaisser le reste!!!
Et comme au rugby ça passe ou ça casse, he bin ça a cassé.
Mais quand tout sera rentré dans l'ordre, j'ai tellement repris de plaisir à courir que je compte bien faire une saison plus régulière en 2011 en cotoyant les "pros" du forum.
Quand on aime on ne compte pas, même dans la douleur!!!
Et tjs sportivement
titop + +