GRAND RAID 73 ET PETIT SAVOYARD A CRUET le 22/5/2010

Voici le classement (en photos ) des 230 premiers du "Petit (mais costaud) Savoyard" à un peu plus de la mi-course au lac de la Thuile .

Les favoris s'imposent : Patrice Paquier sur le 73 kms
Julien Chorier et Florence Enrico sur le 23 kms, la suite au prochain épisode.

Merci pour les encouragements et les photos .

Thibaud des Chamois du Nivolet

Les classements sont en ligne
ICI

Je termine 24ème sur le petit savoyard , la première montée a été difficile pour moi . J'ai vu passé Florence Enrico comme une fusée . Vers le lac de la thuile , je suis 30ème Thibaud Cahez me rattrape et on court un moment ensemble , je le lâche dans la deuxième montée .
Dans la descente , je lâche les chevaux et je rattrape Florence Enrico au deuxième ravito . Je la distance et double encore quelques coureurs .

Belle course , bien organisée .

Salut,
Tout d'abord merci à pelloche pour les photos avec en arrière plan le lac c'est très chouette !
La course est plus difficile qu'on le croit à première vue !
J'avais pour stratégie de partir à fond jusqu'au début de la montée puis monter en rythme soutenu mais pas dans le rouge et gérer la suite en gardant des forces pour la fin si possible (merci pelloche !).
Mais la Savoyarde n'est pas une "femme facile" qu'on se le dise ! et j'ai compris à son sommet (magnifique d'ailleurs..) que j'avais grillé ma réserve de force que je devais garder pour la fin !!!
Je me fait doubler par un "chamois du Nivolet", puis je descend à fond avec lui et nous rejoignons "fabulous" au lac. Je parle du forum avec lui, il a l'air frais comme un ...gardon . Effectivement, il nous distance "au train" de façon imparable ! Impressionnant...
Mine de rien, les raidillons successifs font très mal et je m'accroche au "chamois" qui finit par me laisser passer juste avant la descente. Il a fait toutes les montées en courant, c'est fortiche !
Descente à fond, début de crampe sur un plat goudronné mais ça passe, l'arrivée ... 30 ème. Content de ma course au final. Beau soleil, organisation impec'... à conseiller !
A +
Laurent GOMBERT

P.S: Réponse à Pelloche suite à son post-réponse pour le profil: "Après la dernière difficulté, le nouveau parcours est le suivant: "Tout droit en bas, que de la descente (fin single track "piègeux" avec la fatigue puis goudron "crampeux")

à noter que les gens comme moi qui courent bien moins un poil moins vite que vous ont eu droit à la compagnie d'un troupeau très honorable de biquettes fort aimables, mais quelque peu encombrantes (surtout certaines...) surtout sur le signle-track de descente...

Voilà quoi, y'a pas à chercher pourquoi Chorier et une centaine d'autres nous ont mis la misère.

Voici le classement du 73 kms
Et celui du 23 kms
Il semblerait que Yannick Heusey ai subit la même mésaventure qu'au Malpassant et trouvant un autre chemin.
Le parcours a déjà été modifié 4 ou 5 fois sur cette course et j'ai du aussi m'y tromper 2 ou 3 fois.
Je pense que le fléchage est un point à affiner sur cette épreuve, surtout quand ça va vite devant .

pelloche a écrit:Voici le classement du 73 kms
Et celui du 23 kms
Il semblerait que Yannick Heusey ai subit la même mésaventure qu'au Malpassant et trouvant un autre chemin.
Le parcours a déjà été modifié 4 ou 5 fois sur cette course et j'ai du aussi m'y tromper 2 ou 3 fois.
Je pense que le fléchage est un point à affiner sur cette épreuve, surtout quand ça va vite devant .

Merci Joël pour cette belle série de photos.
Félicitations à tous les coureurs.
Pour le balisage du parcours et le flèchage nous sommes conscient que nous devons l'améliorer. Pour le Petit Savoyard, on ne devrait pas avoir à modifier le parcours de nouveau. Nous avons un souci avec l'ONF qui interdit cette année le marquage au sol avec de la peinture, même éphémère type Tempo Marker. Il va falloir que l'on trouve un autre système de marquage qui ne puisse pas être enlever par des gens malveillants. Sur le Grand Raid 73, nous avons eu du débalisage même pendant la course.
N'hésitez pas à nous transmettre toutes vos remarques afin qie nous puissions nous améliorer

Gilbert Codet, organisateur

Salut Gilbert,
Même si certains arriveront à trouver des solutions pour un balisage efficace, tant qu'il y aura des crétins pour l'enlever il y aura malheureusement des soucis . Ce n'est pas la première fois que ça arrive dans les bauges, Bernard Donzel m'avait parlé aussi de ces soucis lors du dernier Nivolet-Revard.
Dommage que les responsables du parc des bauges ne vous aident pas plus à ce sujet car l'ONF qui vous taquine pour de la peinture éphémère adaptée à la situation c'est agaçant et ça peut démotiver certains.

Personnellement n'étant pas très rapide, je n'ai pas eu de soucis.

Par contre j'ai vu un gars revenir sur ses pas, lorsque sur le Petit Savoyard, après Marrocaz, on quitte une piste 4x4 pour plonger à droite sur le magnifique petit sentier.

Avant de l'accuser d'inattentif Il est possible que ce coureur soit allé déposer un "petit paquet très pesonnel", mais il avait plutôt l'attitude de quelqu'un qui s'était trompé, alors que le balisage était très évident!

Ceci pour dire, qu'il existe peut être des personnes qui se trompent plus facilement que d'autres.
Ceci dit, il est vrai que lorsque l'on balise, il faut

- se mettre à la place de celui qui ne connait ni le secteur, ni la région
- effectuer le parcours à pied,dans le sens de l'épreuve, pas en VTT.
- insister lors des intersections
-mettre une balise toutes les minutes de course, surtout si des échapatoires existent. Cela rassure le coureur, même si le sentier est évident.

François

bonsoir;

je suis d accord avec toi; nous dimanche a bellevaux , il y avait des balises supers rapprochées et des marques au sol;et 73 bénévoles ...qu est ce qu on aprécie...

au bout d un certain nombre d heure de course , le cerveau est moins performant et a la moindre intersection , on a tendancea se poser des questions et a douter si la direction n est pas indiquée .


en parlant du cerveau , faite le test : récitez le corbeau et le renard a chaque heure de course , et vous verrez qu ' au bout d un certain temps , il y a des pertes de mémoires

rachel a écrit:en parlant du cerveau , faite le test : récitez le corbeau et le renard a chaque heure de course , et vous verrez qu ' au bout d un certain temps , il y a des pertes de mémoires

là Rachel tu fais fort ! Elle est trop bonne celle là !
franchement !

Penser à réciter "le corbeau et le renard" pendant un trail c'est fort quand même Fallait y penser n'empêche !

Les seules choses que j'arrive à me dire pendant une épreuve c'est "tiens bon", "ne lâche pas", "non t'as pas mal", "fais pas la nunuche et cours sans penser que t'as mal" ou "allez, l'arrivée c'est tellement bon"... voila,

mais vraiment, si j'arrivais à te suivre, j'aimerais beaucoup courir en t'écoutant réciter toutes les heures "le corbeau et le renard" trop bon ! remarque, je devrais essayer, mais je ne suis pas sûre que j'arriverais à faire les deux choses à la fois...
Sacré Rachel ! trop marrante ton idée !

Galopine

salut galopine ;

c est une amie qui me donner l ' idée de ce test ;essaie , tu penseras a tes " bobos " ;

allez défi galopine

houlllaaaaa.... il faut donc que je révise les fables de La Fontaine oup's.... c'est mal parti dis donc... holala

Galopine

bon les filles ! ok pour la réciter mais en verlan ! pas cap !

Le bocor et le nare

Tremai bocor sur un brear cherpé naite dans son ceb un gemafro. Tremai nare à deurlo chéléa lui tint à peu près ce gegalan ! Et jourbon, sieurmo du bocor, que vous êtes lijo, que vous me bléssan bo ! sans tirman, si votre gemara se rapporte à votre gemaplu, vous êtes le nixphé des téo de ces soib. A ces tom, le bocor ne se tens pas de oije. Et pour trémon sa belle xoiv, il vreour un gelar ceb, selai béton sa proie. Le nare s'en sizai et dit "mon nob sieurmo, néprea que tout teurfla vit au pendé de luice qui l'tecoué. Cette sonle tauv bien un gemafro, sans tedou. Le bocor teuon et fucon raju mais un peu tard qu'on ne lui drèprend plus.

Teuf Teuf

de mieux en mieux !!!!

Tu veux qu'on pête un câble Teuf Teuf ?????

il manquait plus que çà ! déjà que réciter à l'endroit en courant et en regardant où on met les pieds, çà va être chaud, mais en verlan, tu vas nous ramasser en contrebas dans le talus !!!!
c'est ce que tu veux hein ????? qu'on se vautre pour pouvoir mieux venir nous ramasser et nous narguer ? pas question !

Galopine

Bonjour Gilbert,

De prime abord, pardonne-moi de ne pas avoir évoqué ton épreuve, mais mon emploi du temps m’interdit de relater l’intégralité des courses, quand celles-ci au demeurant font exploser le calendrier hors stade. Mon attention se focalise en conséquence sur une seule d’entre-elles par week-end, option imparfaite, tout à fait partiale mais hélas contrainte ! Pour celui du 22-23 mai, mon choix s’est donc porté sur la Grimpée du Semnoz, du moins son volet historique, laissant choir ta manifestation et également le Trail des Allobroges. Mais promis, juré, le Grand Raid 73 sera sur mes tablettes pour 2011 à condition que je ne parte pas vers d’autres cieux d’ici là…
En tout cas, merci Gilbert d’intervenir sur notre forum pour soumettre ton trail aux propositions et autres critiques : voilà une initiative qui ne court pas les chemins et qui est tout à ton honneur, illustrant une opportune et courageuse remise en cause ! Surtout à l’heure où certains, à l’ego surdimensionné, se sont toujours dérobés pour faire amende honorable quand bien même leur course laissait entrevoir moult travers, persistants au fil des années…
De façon modeste mais sincère, n’engageant que ma petite personne, je vais donc exprimer quelques-uns de mes sentiments, uniquement dans un but constructif, pour bonifier ce trail, opinion qui peut naturellement être battue en brèche. Car primo, je n’ai aucunement la prétention d’avoir la science infuse ; deuxio, si je mesure pleinement l’éprouvant labeur qu’exige ce type d’événement, je n’en connais pas toutes les arcanes…

A l’écoute du trailer !
Si ce n’est ma médiocre prestation doublée d’une hypoglycémie sur le Petit Savoyard, dont j’ai pris le départ pour la deuxième année consécutive (mais là n’est pas l’essentiel pour ma pomme), ma journée fut excellente de bout en bout ! Et si elle le fut, c’est au premier chef pour la chaleur de l’accueil et la qualité de l’organisation, diptyque qui n’a jamais dépareillé à une exception près toutefois (j’y reviendrai).
De prime abord, toi et ton escouade ont eu le nez creux pour alléger sensiblement la distance du Petit Savoyard, passant ainsi de 30 à 23km. Allant ainsi complétement à contre-courant de l’air du temps qui veut rallonger sans cesse et jusqu’à l’indigestion les parcours, et ce quel que soit la longueur du trail (petit ou moyen format, ultra), se fichant du tiers comme du quart de l’avis des athlètes, que dis-je des dindons de la farce, tromperie qui n’a que trop duré… Toute ma gratitude Gilbert sur ce coup-là car en écoutant les trailers, tu as été magnifiquement récompensé ! Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 223 classés l’an passé, 332 cette fois-ci, en subissant qui plus est la redoutable concurrence des Allobroges, ce qui n’était pas le cas en 2009. Mais bon sang, puisse ce bilan écarquiller les mirettes d’un certain nombre de responsables, qui n’en font qu’à leur guise en profitant à coup sûr de l’inorganisation des trailers, de leur absence totale de structure, pour le moment tout au moins…
Autre aspect, le balisage qui aura, je pense, répondu aux attentes du peloton. Certes, j’avoue sur ce point là que je manque d’objectivité, connaissant bien l’itinéraire pour l’avoir emprunté à moult reprises, en compétition par-ci, à l’entraînement par-là, n’éprouvant nullement le besoin de dénicher la salvatrice rubalise. N’empêche, la signalétique était rigoureuse, matérialisée à espaces réguliers, systématiquement et idéalement placée aux intersections. Sauf peut-être en quittant (avec regret et nostalgie, si vous saviez…) le rivage de l’adorable Lac de la Thuile, au lieu-dit « le Lac », quand le tracé oblique subrepticement à gauche. A cet endroit précis, il manquait manifestement un signaleur. D’ailleurs, c’est là je crois où Pelloche avait malencontreusement poursuivi droit devant en 2009 (il nous le confirmera ou non) ; et samedi dernier comme l’an passé mais oui, il a fallu la précieuse aide d’un spectateur pour hurler au trailer qui me précédait sa mauvaise appréciation. Idem pour l’arrivée dans Cruet où l’absence de bénévoles se faisait cruellement sentir. De manière générale d’ailleurs, les villages et hameaux ont tendance à être négligés concernant la signalétique, et c’est sur ces lieux-là avant tout qu’il faut la raffermir.
Maintenant, le balisage sur un trail ne peut se comparer avec un 10km sur route ! C’est aussi au trailer à lever la tête de temps en temps, à ne pas avoir ses yeux rivés sur ses runnings, à observer scrupuleusement le parcours. Oui, qu’il cesse de jouer les vierges effarouchées et se défausser sempiternellement sur autrui ! Bref qu’il assume tout compte fait sa course pour ne pas se fourvoyer ! Et je me mets dans le lot bien évidemment, n’oubliant pas mes propres égarements de par ma faute, le dernier en date sur la Sange’run le 30 novembre 2008, me retrouvant, çà ne s’invente pas, isolé, perdu et angoissé ( !) au hameau du Bout du Monde, au cœur des effroyables gorges de la Leysse…

Parades au débalisage
A propos du débalisage, y compris durant l’épreuve, on n’empêchera jamais totalement des francs-tireurs de toute origine d’agir de la sorte : clair reflet de la bêtise humaine, d’un égocentrisme encore exprimant le refus absolu de partager l’espace montagnard… Maintenant, des solutions peuvent être trouvés pour édulcorer ce phénomène qui commence à prendre une certaine ampleur au fil des années :
- Durant l’avant-trail, établir des passerelles avec l’ensemble des usagers de la montagne pour les associer à la manifestation, tout au moins pour qu’ils la saisissent et la tolèrent : agriculteurs, cavaliers, chasseurs, forestiers, pêcheurs, randonneurs, vététistes, sans occulter les élus, et que sais-je encore. Bref un gros travail en amont pour ne pas établir ses quartiers en terrain conquis, et susciter ainsi l’acrimonie de certains…
- Avoir une substantielle équipe de bénévoles, notamment ambulante sur certaines portions plus sensibles que d’autres (aux abords des entités humaines ou des routes en particulier). Certes, les volontaires ne sont pas légion de nos jours. Raison de plus pour ne pas se lancer imprudemment dans de grandiloquentes opérations sans le personnel justement requis, comme on le constate hélas sporadiquement (le Grand Raid 73 n’est nullement visé, rassure-toi !). Raison également pour bien répartir sur le parcours les bénévoles ; par exemple, ne pas trop les concentrer sur les aires de ravitaillement au dépens de contrées névralgiques où fréquemment il n’y a pas âme qui vive…
Sinon, les autres prestations furent en tous points remarquables : le maillot technique de couleur orange du plus bel effet, le fantastique opinel pour ceux ayant concouru sur le 73km, le repas où chacun pouvait se servir à volonté. Et que dire de la gentillesse des bénévoles, se manifestant souvent par quelques bribes d’encouragement et un immuable sourire.
Pour terminer Gilbert, je relaterai en revanche deux points qui m’ont troublé, les deux seuls à vrai dire puisque ce trail fut pour moi un incontestable succès ; c’est surtout le second qui me chagrine :
- Excepté le lauréat, le 2e et 3e de chaque catégorie d’âge n’ont pas été récompensés, contrairement aux quatre autres manches du Challenge des Trails des Bauges. Et alors que les montants d’inscription et le nombre de trailers sont du même acabit. Mais peut-être que votre budget, trop réduit, l’interdisait, auquel cas je le comprendrai totalement. Si j’évoque ce paramètre, c’est essentiellement par empathie et non pour ma pomme, je puis te l’assurer. Car la réussite d’une épreuve hors stade pour ma part se mesure essentiellement dans l’accueil, l’atmosphère qui s’y exhale et la sécurité, consubstantielle au balisage. Le reste, et notamment les lots, çà m'est vraiment secondaire sauf peut-être une coupe de tant en tant pour… ma fille de sept ans qui les collectionne après avoir paradé avec !
- Plus ennuyeux, et ce fut pour moi le seul instant où le bâts a blessé, la médiocrité du ravitaillement d’arrivée, quantitativement comme qualitativement, analogue en réalité avec celui de l’an passé. Point de vue épousé par certains participants, aussi bien sur le 23 que, encore plus fâcheux, le 73km. Ravitaillement qui plus est bien éloigné et pas assez mis en évidence quand on franchit la ligne, surtout pour les forbans du parcours long. En 2009, j’en ai ainsi vu certains, parmi les tous premiers, tomber comme des mouches, incapables de faire les interminables mètres qui les séparaient de l’approvisionnement. Et quand ils y parvenaient laborieusement, ils ne pouvaient qu’observer que boissons et mets n’étaient pas intarissables. Le seul argument qui leur fut répondu était de se diriger promptement vers la salle où était servi le repas, alors qu’en réalité avant de s’y rendre il peut s’insérer un créneau relativement important pour se « refaire » (récupération, douche, massage et... alimentation !).
Voilà, en espérant t’avoir été utile afin que ce trail connaisse en 2011 un triomphe encore plus retentissant qu’il ne le fut cette année, et devienne ainsi un rendez-vous incontournable dans nos Pays de Savoie, et pourquoi pas au-delà !
A l’an prochain, à la fois sportivement et… épistolairement, surtout n’en doute pas !
Allez Gilbert, avec moi, vive le sport, oui, mais plus fort encore, vive le sport démocratique, populaire et respectueux de chacun !
François Vanlaton

"Sauf peut-être en quittant (avec regret et nostalgie, si vous saviez…) le rivage de l’adorable Lac de la Thuile, au lieu-dit « le Lac », quand le tracé oblique subrepticement à gauche. A cet endroit précis, il manquait manifestement un signaleur. D’ailleurs, c’est là je crois où Pelloche avait malencontreusement poursuivi droit devant en 2009 (il nous le confirmera ou non)"


C'était un peu plus haut après le hameau suivant la lac de la Thuile que j'ai rallongé ma course l'an passé. Dans les bois lorsque le chemin recommençait à "pencher" et j'ai suivi tout droit le chemin alors qu'il fallait bifurquer à gauche. En revenant sur mes pas, j'ai bien vu la rubalise mais elle était accrochée en hauteur et comme je portais une visière mon champ de vision était réduit et je l'ai "zapée"car je venais de m'évader au ravito juste avant et j'étais pied au planché 100% mea culpa